
L'organisation requérante a mis en garde contre la persistance d'obstacles à l'accès des filles et des adolescentes à l'interruption volontaire de grossesse (IVG). Elle a indiqué que les stigmates liés à l'utilisation de la contraception d'urgence, les exigences non prévues par la loi et le recours abusif à l'objection de conscience mettent en danger la santé et la vie des survivantes de violences sexuelles. En outre, il a demandé l'adoption d'une loi spécialisée sur les droits sexuels et génésiques qui garantisse l'avortement et des ajustements réglementaires concernant les crimes de violence sexuelle et l'objection de conscience.
L'État a réaffirmé son engagement en faveur de la protection des droits sexuels et génésiques, reconnaissant la nécessité d'une législation spécialisée. Il a fait état de la participation du ministère de la santé et des sports à la socialisation d'un projet de loi et des progrès réalisés dans la formulation de la prochaine politique publique globale de prévention de la grossesse chez les adolescentes.
Pour sa part, la CIDH a apprécié ces efforts et a souligné que le devoir de diligence accrue en matière de protection des filles et des adolescentes comprend à la fois l'accès aux services de santé et à la justice.
Traduit automatiquement avec DeepL AI